Le CFER des Chênes relocalisé suite à un incendie

Le CFER des Chênes relocalisé suite à un incendie
Un incendie a endommagé le CFER des Chênes le 23 janvier dernier. (Photo : Ghyslain Bergeron)

CFER. Les élèves évoluant au Centre de formation en entreprise et récupération (CFER) des Chênes ont été relocalisés dans les locaux du Centre de formation en mécanique de véhicules lourds routiers (MVLR), situés à Saint-Germain-de-Grantham, pour une durée indéterminée.  

Cette solution temporaire survient à la suite de l’incendie qui a lourdement endommagé le bâtiment abritant le CFER, dans le secteur Saint-Nicéphore, le 23 janvier dernier.

«Il nous importait de relocaliser nos élèves et notre personnel dans les plus brefs délais, afin de ne pas compromettre l’année scolaire en cours. Le Centre de formation MVLR, qui vient d’être agrandi, est vite devenu l’endroit tout indiqué pour accueillir le CFER dans les circonstances que l’on connaît, notamment parce que le travail effectué en atelier-usine pourra s’y poursuivre. On sait que cette partie de l’actuel CFER a été considérablement affectée lors de l’incendie», explique Lucien Maltais, directeur général de la Commission scolaire des Chênes (CSDC).

Les activités académiques ont déjà repris

Dans les jours qui ont suivi le sinistre, les élèves ont été accueillis dans les locaux du programme «Sprint», situés au Centre de formation générale des adultes, le temps de déterminer la suite des événements. Ils y seront jusqu’à ce vendredi.

Les élèves bénéficieront ensuite d’une pause de deux jours — les 3 et 4 février — afin de permettre au personnel de préparer leur accueil au Centre de formation en MVLR.

C’est donc le 5 février prochain que leur transfert se concrétisera. Ils pourront, par ailleurs, bénéficier du transport scolaire.

«Dans ce contexte, il allait de soi de bien planifier ce déménagement imprévu, que ce soit pour le volet académique ou le volet atelier de travail. Malgré ces circonstances malheureuses, nous souhaitons mettre en place les conditions gagnantes pour que nos élèves et notre personnel puissent reprendre le cours normal de leurs activités, autant que faire se peut», ajoute M. Maltais.

Il faudra encore du temps avant de savoir à quel moment le bâtiment partiellement incendié pourra être rouvert. (EA)

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