François Vaes, l’homme aux mille projets  

François Vaes, l’homme aux mille projets  
François Vaes prend le temps d’aller à la rencontre de ses électeurs, car il souhaite connaître les enjeux qui les préoccupent. (Photo : Frédéric Marcoux)

JOHNSON. François Vaes, candidat dans la circonscription de Johnson pour le Parti libéral du Québec (PLQ), mène sa campagne électorale comme il entreprend sa vie : à la vitesse grand V. Il travaille comme directeur du centre de distribution du Groupe Robert et il possède le Vignoble Bromont, à Brigham. Il a tout de même pris le temps d’installer lui-même la plupart de ses pancartes électorales.

Il a décidé de fixer 90 % de ses affiches électorales pour revisiter sa circonscription et parler avec les habitants afin de connaître les enjeux qui les préoccupent.

«Si je suis élu comme député, ce n’est pas pour le titre. Je veux représenter ces gens-là, je veux rencontrer tous les maires et connaître leur réalité, les problématiques qu’ils veulent régler», souligne-t-il.

En plus d’être impliqué socialement dans plusieurs comités sociaux, M. Vaes tient une vie professionnelle très occupée. «Je travaille pendant ma campagne électorale, car je ne voulais pas laisser tomber certains dossiers importants. Ce que j’entreprends, je le termine.»

François Vaes, un entrepreneur avant tout

En plus de son emploi de directeur, M. Vaes est vigneron depuis 2016. L’agriculture et la gestion de l’offre sont des enjeux «qu’il défendra jusqu’à la toute fin». Évidemment, sa fibre entrepreneuriale influence les enjeux qu’il considère comme prioritaires. «Je fais de l’entrepreneuriat mon cheval de bataille. Tout le monde devrait avoir les outils pour se lancer en affaires, peu importe l’âge. J’en sais quelque chose, ce n’est pas toujours facile de devenir entrepreneur», affirme-t-il.

«Quand j’ai annoncé à mon entourage que je voulais être candidat, personne n’était surpris», commente M. Vaes. Pour lui, devenir député ne constitue pas un défi, mais plutôt une opportunité. «Mon rôle comme député serait de donner un coup de main aux projets déjà existants et de les amener plus loin. Bref, je veux être le porteur de projets jusqu’à Québec», souligne-t-il.

S’il a décidé de se lancer en politique maintenant, malgré sa vie déjà très occupée, c’est pour la tournure politique qu’il croit idéale actuellement. «Le Québec n’a jamais été dans une aussi belle position qu’en ce moment. L’économie va très bien et ce n’est pas le temps de laisser ça aller», affirme le candidat. Choisir le PLQ était pour lui une évidence : «C’est le seul parti politique qui a su se réinventer à travers ses 150 ans d’histoire et celui qui partage le plus mes valeurs démocratiques.»

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