Divorce entre Éric Bélanger et les Voltigeurs

Divorce entre Éric Bélanger et les Voltigeurs
Dans une décision prise «d’un commun accord entre les deux parties», Éric Bélanger et les Voltigeurs se séparent. (Photo : archives, Ghyslain Bergeron)

HOCKEY. Le séjour d’Éric Bélanger derrière le banc des Voltigeurs aura été de courte durée.

Trois jours après la nomination du directeur général Yanick Lemay, on apprend que l’entraîneur-chef ne sera pas de retour derrière le banc de l’équipe la saison prochaine. Dans un court communiqué de presse, l’organisation drummondvilloise a fait savoir que cette décision a été prise «d’un commun accord entre les deux parties».

«Les Voltigeurs souhaitent remercier Éric Bélanger pour les derniers mois passés à Drummondville et lui souhaitent bonne chance pour la suite de sa carrière», a simplement indiqué l’organisation.

Le séjour d’Éric Bélanger derrière le banc des Voltigeurs aura été de courte durée. (Photo d’archives, Ghyslain Bergeron)

Plus tôt cette semaine, Éric Bélanger était présent au centre Marcel-Dionne lors de la conférence de presse annonçant la nomination de Yanick Lemay. Le nouveau dg des Voltigeurs avait alors indiqué qu’il souhaitait rencontrer l’ex-attaquant de la Ligue nationale de hockey afin d’apprendre à mieux le connaître.

Le contrat d’Éric Bélanger le liait à l’organisation pour les deux prochaines saisons. L’homme de hockey de 45 ans natif de Sherbrooke avait délaissé ses fonctions d’entraîneur-chef chez les Lions de Trois-Rivières afin de se joindre aux Voltigeurs.

Embauché par Philippe Boucher en novembre dernier afin de remplacer Steve Hartley, Éric Bélanger a dirigé les Voltigeurs pendant 45 parties en saison régulière, guidant l’équipe vers une fiche de 18 victoires et 27 défaites. En séries éliminatoires, les Rouges ont été balayés par le Phoenix de Sherbrooke en deuxième ronde après avoir surpris les Tigres de Victoriaville au premier tour.

Éric Bélanger n’aura été à la tête des Voltigeurs que pendant six mois, ou 191 jours pour être plus précis.

À LIRE ÉGALEMENT : «On veut un leader, un gars qui communique bien» – Yanick Lemay

Partager cet article