Soprema s’implante au Mexique

Soprema s’implante au Mexique
Plusieurs dirigeants de l’entreprise Soprema étaient présents pour célébrer l’ouverture de son nouveau bureau de vente. (Photo : Mathieu Fontaine)

ÉCONOMIE. C’est mardi soir, dans ses locaux situés à Drummondville, que Soprema a annoncé l’ouverture d’un tout nouveau bureau de vente à Mexico.

Soprema s’assure ainsi de mieux desservir le deuxième plus gros marché de la construction en Amérique latine. De plus, l’entreprise souhaite contribuer à l’amélioration des standards de performances en construction et devenir une référence en étanchéité de qualité dans ce même marché.

«Le Canada s’occupe déjà de développement de plusieurs marchés internationaux, dont la Chine, l’Australie, le Moyen-Orient et le Brésil. Le Mexique était tout simplement la pièce manquante à note implantation mondiale. Nos opérations internationales comptent désormais près de 150 personnes et génèrent approximativement des revenus annuels de 40 millions», a affirmé Richard Voyer, vice-président et chef de la direction de Soprema, lors de la conférence de presse.

Notons que le nouvel espace de vente mexicain emploiera quatre personnes et que trois autres bureaux de vente devraient voir le jour en Amérique du sud d’ici 2020.

«Plusieurs études prévoient que le Mexique deviendra la septième puissance économique mondiale d’ici 2050. On estime que sa population passera de 128 millions en 2016, à 164 millions en 2050, ce qui générera de multiples opportunités pour Soprema dans les secteur résidentiels, commerciaux et du génie civil. Les études entrevoient également une hausse importante du PIB par habitant, ce qui nous laisse croire que la popularité des matériaux de construction de qualité supérieure de notre entreprise sera grandissante. L’économie mexicaine ne se limite plus à l’industrie touristique ; les secteurs automobiles, pharmaceutiques et aéronautiques sont devenus très solides. La proximité culturelle et le traité de libre-échange me laissent croire que nous y aurons beaucoup de succès», a quant à lui indiqué Louis-Philippe Lussier, chargé du développement international. (MF)

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