John Husk a obtenu son diplôme d’administrateur municipal, niveau 2

John Husk a obtenu son diplôme d’administrateur municipal, niveau 2
John Husk

Le conseiller municipal John Husk a obtenu cette année un diplôme d’administrateur municipal de niveau 2, qui équivaut à 60 heures de formations conçues et offertes par l’Union des municipalités du Québec (UMQ).

Parmi les 20 élus et gestionnaires municipaux qui ont obtenu un diplôme en conformité avec les normes de qualité de la Société de formation et d’éducation continue (SOFEDUC), le Drummondvillois est le seul de sa cohorte à avoir atteint le niveau 2 et l’UMQ a jugé bon de le souligner dans un communiqué de presse transmis hier. Cette reconnaissance de la SOFEDUC garantit des activités de formation structurées, animées par des formateurs compétents, planifiées et dirigées par une organisation dont la qualité des processus pédagogiques et administratifs mis en place est reconnue.

Invité à préciser les formations qu’il a suivies au cours de ces 60 heures depuis qu’il est en poste (novembre 2009), John Husk a précisé : «Formation de base pour élus (deux fois, en 2009 et 2013); Éthique et déontologie; Utilisation des crédits de carbone par les municipalités; Consultation publique; administrateur de l’UMQ (alors qu’il siégeait sur le CA de l’UMQ en 2014-2016); Communication au public; Gestion stratégique des infrastructures; Rôle des municipalités face aux changements climatiques».

Selon lui, la formation est importante pour les élus municipaux pour deux raisons : «Tout d’abord, lorsqu’on est élu, on ne connaît pas forcément en détail tous les enjeux sous notre responsabilité. Cette formation permet d’avoir une bonne connaissance pour bien administrer, par exemple la gestion des infrastructures. De plus, la formation continue permet de rester à l’affût et d’anticiper des enjeux qui risquent d’avoir un effet sur la collectivité pour minimiser leur impact, par exemple les changements climatiques», de commenter John Husk.

Quant aux coûts, ils varient selon les formations, qu’elles soient données en salle ou via le web, mais toutes les dépenses des participants à la formation sont admissible à la Loi sur les compétences, qui oblige les employeurs à investir annuellement au moins 1 % de leur masse salariale dans la formation de leurs employés.

«Cette cohorte des plus impressionnantes démontre l’importance grandissante que les élus et gestionnaires municipaux accordent au développement continu de leurs compétences, afin de demeurer à l’affût des nouvelles réalités et défis de la gestion municipale et de toujours mieux servir leurs concitoyens», a mis en perspective le président de l’UMQ et maire de Sherbrooke, Bernard Sévigny.

L’UMQ travaille déjà ardemment afin de préparer la formation qui sera donnée à travers le Québec aux nouveaux élues et élus au lendemain des élections municipales générales de novembre 2017.

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