L’artiste Marc Séguin de passage au cégep de Drummondville

L’artiste Marc Séguin de passage au cégep de Drummondville
Marc Séguin s’arrêtera à la salle Georges-Dor du cégep de Drummondville

Le public est invité à assister à une rencontre avec Marc Séguin, l’un des peintres contemporains les plus talentueux de sa génération, qui se déroulera à la salle Georges-Dor du cégep de Drummondville, le mardi 18 février prochain, de 12 h à 14 h.

Marc Séguin travaille entre Montréal et New York. Ses oeuvres font le tour du monde et, partout, les collectionneurs attendent avec impatience chacune de ses nouvelles expositions.

Élève de Molinari, admirateur de Riopelle, l’artiste crée une oeuvre dense qui mêle les genres et ne cesse d’étonner. Sombres et profondes, ses toiles semblent traversées par un rapport entre vie et mort aux contours troubles, qui interpelle.

Peintre-romancier

Diplômé de l’école des Beaux-Arts de l’Université Concordia, l’artiste est également auteur du roman «La foi du braconnier», qui a remporté le Prix littéraire des collégiens 2010. L’an dernier, il a lancé son deuxième livre, «Hollywood», qui s’intéresse à l’utopie du rêve américain.

Lors de cet événement, des étudiants des programmes Arts et lettres, option Lettres, cinéma, théâtre, et Arts visuels seront sur scène avec l’artiste pour échanger avec lui. Des oeuvres de Marc Séguin seront également projetées comme toile de fond aux discussions sur sa vision de l’art.

Un documentaire comme prélude à la rencontre

Afin d’apprendre à mieux connaître cet être de paradoxes étonnants, le documentaire «Bull’s eye, un peintre à l’affût», du réalisateur Bruno Boulianne, sera diffusé le mardi 11 février, dès 12 h, au local 2511-2513 du cégep de Drummondville. L’invitation s’adresse au grand public et l’activité est offerte gratuitement.

Le film trace avec justesse et complicité le portrait d’un artiste qui peint comme il chasse, l’une de ses passions : avec patience, foi et désir. C’est le désir de vivre et de créer, en étroit rapport avec l’immensité sauvage afin d’atteindre sa cible : fixer sur la toile l’image à couper le souffle. (DA)

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