Défi Spin8: 15 000$ récoltés pour le Centre de pédiatrie sociale

Défi Spin8: 15 000$ récoltés pour le Centre de pédiatrie sociale

PHILANTHROPIE. Samedi, plus de 28 entreprises ont pédalé à tour de rôle pour soutenir financièrement le Centre de pédiatrie sociale Les Petits Bonheurs de Drummondville. Cette huitième édition du Défi Spin 8 a permis de remettre 15 000 $ à l’organisme.

Le Centre de pédiatrie a ouvert ses portes il y a moins de deux ans, dans le quartier Saint-Joseph.  Il a pour mission de contribuer au développement des enfants de 0 à 14 ans qui présentent des problèmes de développement, de socialisation ou encore de santé en milieu défavorisé.

«Cet argent servira à équiper nos intervenants d’ordinateurs et de logiciels plus récents. Ce sera aussi les enfants qui en bénéficieront directement avec le service de soins cliniques», a expliqué la pédiatre Nathalie Foucault.

Il faut dire que depuis son arrivée à Drummondville, le Centre de pédiatrie sociale a vu sa clientèle exploser. En avril dernier, ce sont 140 familles qui bénéficiaient des services de la clinique médicale. Aujourd’hui, plus de 220 familles consultent les différents intervenants. «On a maintenant une éducatrice spécialisée et une travailleuse sociale qui travaillent au Centre à temps plein. L’an prochain, on souhaite accueillir 400 familles», a ajouté la docteure Foucault.

Même événement, nouvelle formule

Au son d’une musique entraînante, plus de 28 entreprises, chacune représentée par quatre de ses employées, se sont relayées de 8h00 à 12h00 dans la grande salle d’entraînement de Gymnase Drummond. Leur défi? Pédaler le plus rapidement possible pendant une heure sur un vélo stationnaire. Quatre hommes d’affaires de la région, tels que le propriétaire de Volkswagen Drummondville, Normand Chiasson et Gerry Gagnon de Deloitte étaient professeurs de spinning «d’un jour».

Cette année, les organisateurs ont apporté quelques changements au Défi Spin 8. L’événement-bénéfice qui se déroulait auparavant toute une journée a été condensé en un avant-midi. «C’était difficile de mobiliser les gens l’après-midi. De plus, tous les membres de la même entreprise pouvaient participer à l’activité ensemble. Les années précédentes, ils pédalaient une heure à tour de rôle», a précisé Martin Foster, responsable du projet.

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