Anaïs Gendron-Gosselin et Lily, un duo en harmonie

Jonathan Habashi
Anaïs Gendron-Gosselin et Lily, un duo en harmonie
Anaïs Gendron-Gosselin et sa jument Lily ont remporté une médaille de bronze à Bromont. (Photo : gracieuseté)

ÉQUITATION. Il n’y a pas que Laurie Jetté qui a représenté Drummondville avec brio lors de la compétition Caballista tenue récemment au parc équestre olympique de Bromont. Anaïs Gendron-Gosselin a décroché une médaille de bronze dans la discipline du dressage.

Âgée de 15 ans, la championne de l’Estrie dans sa catégorie participait aux Jeux équestres du Québec pour la première fois. En compagnie de son cheval Lily, une jument de 11 ans, la jeune cavalière a obtenu une note de 72,5 %.

Anaïs Gendron-Gosselin. (Photo gracieuseté)

«Je suis très surprise de ma performance. Je suis arrivée là sans aucune attente et je suis ressorti avec le meilleur résultat de la saison pour Lily et moi. Pour une première saison de compétition en dressage, je suis très fière de moi et mon cheval. Nous nous préparons pour le niveau supérieur l’année prochaine», a commenté Anaïs Gendron-Gosselin.

Pratiquant l’équitation depuis 2017, la jeune Drummondvilloise s’entraîne sous la supervision de Claude-Ève Bonneau au centre équestre MAC situé à Saint-Cyrille-de-Wendover.

«J’ai commencé le dressage cet été avec mon cheval, car avant je faisais du concours complet. J’ai changé de discipline, car mon cheval n’aimait pas sauter. Elle essayait de me désarçonner après les sauts et elle se cabrait. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’aller vers le dressage. J’ai découvert une discipline très technique et en harmonie avec le cheval», a expliqué Anaïs Gendron-Gosselin, qui se décrit comme une athlète persévérante, travaillante, délicate et à l’écoute de son cheval.

«Je connais cette jument par cœur et j’ai une très belle complicité avec elle. Je sais quand ça ne va pas et j’adapte mon entraînement à son humeur. J’adore sentir Lily en dessous de moi qui travaille et qui donne son 100 % à chaque entraînement. Elle fait tout ce qu’elle peut pour me faire plaisir et elle est toujours contente de travailler.»

Anaïs Gendron-Gosselin. (Photo gracieuseté)
Partager cet article