CULTURE. Pas moins de 23 spectacles figurent à la programmation de la Maison de la culture de L’Avenir, ce qui représente un nombre record.
«On a cette année la plus grande programmation jamais offerte», s’exclame la directrice générale Anie Parenteau.
Le lieu de diffusion a décidé d’ouvrir ses horizons musicaux en présentant des styles variés. «On a entre autres du bluegrass pour notre souper-spectacle des Fêtes. On a ajouté de la musique brésilienne avec Florence K. Le groupe Biguine Flamenca va faire un beau spectacle de flamenco. C’est tout nouveau pour la Maison de la culture. On a aussi de la musique classique avec le quatuor à cordes Cordâme», souligne-t-elle.
Des coproductions s’ajoutent à la programmation. «On loue notre salle et nos équipements. On vend les billets des artistes. Il y a plusieurs coproductions qui ont voulu venir chez nous. On en a accepté deux, soit Guitar Story 2.0 et Seb Labonté Band.»
Originaire de la région, Seb Labonté est un habitué du Ptit Marché de L’Avenir durant la saison estivale. Cette fois, il présente un spectacle entraînant pour souligner la nouvelle année, accompagné de ses quatre musiciens.
Plusieurs artistes de renom fouleront la scène de la Maison de la culture tels que Lynda Lemay, France D’Amour, Marthe Laverdière et le duo 2Frères. Anie Parenteau s’en réjouit : «Je suis arrivée ici il y a huit ans. Quand on demandait aux artistes de venir, c’était vraiment difficile. Ils avaient l’impression de venir dans une salle municipale. Maintenant, lorsqu’on fait des demandes aux artistes, tout le monde connaît la Maison de la culture. On s’est démarqué par notre formule conviviale. Il y a une proximité avec le public avec la formule cabaret.»
Un volet humoristique complète la programmation.
Place aux arts visuels
Des expositions seront présentées à la Maison de la culture durant les prochains mois. C’est l’artiste K qui brise la glace. Le vernissage est prévu en même temps que le lancement de la programmation, le 29 septembre.
Cette dernière utilise l’art pour exprimer ses états d’âme, ce qui lui permet de se réconcilier avec elle-même. Elle illustre des personnages féminins qui dégagent la douceur, la mélancolie ou la souffrance.
En somme, Anie Parenteau entrevoit la nouvelle saison culturelle avec optimiste, alors que le lancement de la programmation fait salle comble. Cette dernière ressent un engouement de la part du public. «C’est prometteur pour la suite», se réjouit-elle.
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