Sylvain Favreau est l’homme des Voltigeurs

Sylvain Favreau est l’homme des Voltigeurs
Sylvain Favreau, qui a récemment délaissé ses fonctions chez les Mooseheads, sera nommé entraîneur-chef des Voltigeurs. (Photo : Trevor MacMillan/LHJMQ)

HOCKEY. Sylvain Favreau est le nouvel homme de confiance des Voltigeurs. Le journaliste de RDS Stéphane Leroux rapporte que l’organisation drummondvilloise fera de lui son prochain entraîneur-chef.

Selon nos informations, les Voltigeurs lui octroieront un contrat pour les trois prochaines saisons. La nouvelle doit être annoncée par le club en début de semaine.

Originaire d’Orléans, près d’Ottawa, Sylvain Favreau a récemment démissionné de son poste d’entraîneur-chef des Mooseheads de Halifax en invoquant des raisons personnelles. L’homme de hockey de 45 ans a dirigé la formation néo-écossaise pendant les deux dernières campagnes, guidant l’équipe jusqu’en finale de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) cette année.

Sylvain Favreau. (Photo : LHJMQ)

En 136 parties en saison régulière sous la gouverne de Sylvain Favreau, les Moosheheads ont compilé un dossier de 88 victoires et 48 défaites. Auparavant, le Franco-Ontarien avait agi comme entraîneur-adjoint du club pendant quatre saisons, participant au parcours de l’équipe jusqu’en finale de la coupe Memorial en 2019. Au total, il a donc passé six saisons derrière le banc du club.

Avant de débarquer à Halifax, Sylvain Favreau a dirigé des équipes à Gloucester et à Cumberland, dans le circuit de hockey junior A de l’Ontario. Ces dernières années, il a également œuvré au sein du programme des moins de 17 ans de Hockey Canada.

Ancien attaquant, Sylvain Favreau a notamment évolué en France pendant quelques saisons au début des années 2000. En outre, il a aidé l’équipe de Strasbourg à remporter le championnat de la première division en 2006.

Sylvain Favreau succède ainsi à Éric Bélanger, qui a délaissé ses fonctions d’entraîneur-chef des Voltigeurs au début du mois de juin. Le nouveau directeur général de l’équipe, Yanick Lemay, s’était alors dit à la recherche d’un pilote à la fois «passionné, capable de bien communiquer et de travailler en équipe».

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