ÉDUCATION. Le ministre responsable du Centre-du-Québec, André Lamontagne, a annoncé vendredi l’ajout de 12 nouvelles classes de maternelle 4 ans au sein de la région, dont une pour la Commission scolaire des Chênes (CSDC).
L’ouverture de ces 12 nouvelles classes viendra doubler l’offre de maternelle 4 ans au sein de la région.
Avec l’addition d’une classe, la CSDC disposera d’un total de 5 classes au sein de ses établissements scolaires, dont à l’école Saint-Joseph et Saint-Guillaume.
«Nous ne savons pas où la nouvelle classe sera aménagée. Ce sera à la CSDC de décider au cours des prochaines semaines», a indiqué Nathalie Benoit, directrice du bureau de compté de Johnson.
Soulignons que la Commission scolaire des Bois-Francs s’est quant à elle vu confirmer sept nouvelles classes pour un total de 14 alors que la Commission scolaire de la Riveraine en a obtenu quatre pour un total de neuf.
À l’échelle du Québec, on compte 1010 classes de maternelle 4 ans.
«Cette maternelle vise à permettre le développement du plein potentiel chaque enfant et à détecter plus rapidement les élèves ayant des besoins particuliers. Je me réjouis du nombre de nouvelles classes qui ont été ajoutées. C’est une bonne nouvelle à la fois pour les parents de notre région, mais d’abord et avant tout pour leurs enfants qui bénéficient de ce service adapté à leur âge et à leur développement», a fait savoir le ministre Lamontagne.
Rappelons que la fréquentation de la maternelle à partir de l’âge de 4 ans est un service accessible aux familles, mais non obligatoire.
«À travers tout le Québec, 350 nouvelles classes de maternelle 4 ans seront ouvertes en septembre prochain. L’engouement manifesté lors de la dernière année scolaire prouve que cette nouvelle offre de services vient répondre à un besoin de la population. Je suis confiant que les élèves fréquentant la maternelle 4 ans y trouveront un milieu stimulant et l’accompagnement nécessaire pour pouvoir acquérir les stratégies qui leur permettront de se sentir valorisés et mieux outillés pour poursuivre leur scolarité», a conclu le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Jean-François Roberge.
