Steeve Paquet gardera sa porte ouverte

Steeve Paquet gardera sa porte ouverte
Steeve Paquet. (Photo : Gracieuseté)

ÉLECTIONS. Steeve Paquet compte garder la porte de son bureau bien ouverte après le 21 octobre prochain. Selon lui, la politique fédérale a trop longtemps été à l’écart des citoyens et il compte bien y remédier aussitôt qu’il sera élu.

«Je ferai en sorte qu’un canal de communication reste ouvert entre moi et les citoyens. La technologie nous le permet, alors pourquoi pas? Les citoyens doivent se sentir impliqués dans les décisions fédérales. C’est primordial», affirme le candidat du PPC.

Le 21 octobre prochain sera le moment où les citoyens auront à se prononcer sur l’avenir politique des quatre prochaines années. Le candidat du Parti populaire du Canada croit que ce choix sera déterminant pour l’avenir économique et social de la région.

«Je propose à la population une quiétude financière. Nous sommes le seul parti politique qui équilibrera le budget au cours des deux prochaines années. À l’aube d’une prochaine récession, c’est ma responsabilité d’offrir une alternative qui protégera les citoyens. J’ai choisi Drummondville, nous sommes une grande famille et je ferai tout pour nous garder à l’écart de cette possibilité. Les autres partis politiques prennent notre argent pour la distribuer dans divers groupes d’intérêt. Nous, on tient à ce qu’elle reste dans les poches des citoyens», a précisé M. Paquet.

Il poursuit en rappelant que ses adversaires politiques s’enlignent pour accentuer la dette du pays.

«Les libéraux nous ont créé une dette de 70 milliards de dollars et ce n’est qu’un début. Concernant les conservateurs, selon les chroniqueurs économiques de journaux à grand déploiement au Québec, ils laisseraient un trou de 16 milliards $ au terme de leurs cinq années. De plus, comment faire confiance aux conservateurs sachant très bien qu’ils ont menti à leur candidate au Québec donc celle de Drummond concernant l’avortement?

Steeve Paquet souligne que le programme du Parti populaire du Canada prévoit éliminer le déficit en deux ans en réduisant les dépenses et en faisant preuve de prudence budgétaire. Les compressions dans les dépenses toucheront : les subventions aux entreprises (5 à 10 milliards $), l’aide étrangère au développement (5 milliards $), Radio-Canada (1 milliard $), les paiements de péréquation et le financement de programmes qui relève des provinces ou municipalités.

«Le Bloc québécois a beaucoup de bonne volonté, mais ne sera jamais au pouvoir. Un vote pour le Bloc est un vote perdu. Ils sont les vrais responsables de la division des votes et cela aura pour effet d’affaiblir le pays au sein de la communauté internationale», conclut-il.

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