Pourquoi n’y a-t-il pas de surveillant? (Tribune libre)

Pourquoi n’y a-t-il pas de surveillant? (Tribune libre)
(Photo : L'Express)

TRIBUNE LIBRE. Au conseil municipal de la Ville de Drummondville. La présente concerne, encore une fois, la sécurité au stade Jacques-Desautels lors des parties du baseball senior du Brock et du Saint-Fred. Voici les cas :

  • Cas de jeunes courant vers la sortie pour aller récupérer les fausses balles dans le stationnement, la rue Baril et le boisé. Le DJ de la musique en remet avec un bruit. Pour avoir été dans les autres stades, ce n’est qu’ici qu’on tolère une telle pratique, même à la noirceur.
  • Cas du filet arrière ballotant très fort auparavant, sauf une petite section, près duquel j’ai dû avertir trois jeunes filles qui se tenaient les bras et la tête un à deux pieds du filet arrière pendant le jeu sans que personne ne les avise.
  • Cas des chiens aboyant et étendus dans le passage des spectateurs.
  • Cas de trois jeunes garçons de 8 à 11 ans faisant des sprints de course à pied sur la rue Baril en début de noirceur que j’ai dû avertir lors de mon arrivée, car il y avait deux autos.
  • Cas des estrades de parcs sans marches placées devant le marbre lequel l’on doit enjamber ou marcher dessus. Il faudrait prévoir peinturer les rajouts de planches neuves.
  • Cas de 2-3 spectateurs criant après l’arbitre au marbre, en le ridiculisant.
  • Cas des billets de moitié-moitié entièrement en anglais.

Mon intervention s’avère positive envers une ville fort sportive qui reçoit, tout comme les deux clubs seniors de baseball, la plupart des autres grandes villes du Québec.

Travaillant moi-même en sécurité aux Alouettes, à l’Alliance (basketball), à la F1 comme placier et à l’Impact de Montréal au début des années 2000, cela me frappe chaque fois qu’il n’y ait pas de surveillant.

Gérard Fréchette, amateur de baseball depuis 1965

 

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