Riley Mercer impatient de faire ses débuts

Riley Mercer impatient de faire ses débuts
Riley Mercer n'a pas vu d'action depuis ses trois présences en matchs préparatoires au mois de septembre. (Photo : archives, Ghyslain Bergeron)

HOCKEY. Choix de deuxième ronde (31e rang au total) des Voltigeurs de Drummondville au dernier repêchage, Riley Mercer attend impatiemment de voir de l’action dans un match de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ).

À travers une saison bousculée par la pandémie, la recrue de 16 ans apprend son métier aux côtés des vétérans de 18 ans Francesco Lappena et Jacob Leblanc.

«J’ai vraiment hâte de jouer mon premier match dans la LHJMQ. La première moitié de la saison a été une période d’ajustement pour moi. J’ai pu travailler avec l’entraîneur Olivier Michaud et les deux autres gardiens de l’équipe, qui sont de très bons modèles pour moi. Ils m’ont permis de me familiariser avec la ligue. Je pense que je suis prêt», a affirmé celui qui a effectué trois présences en matchs hors-concours au mois de septembre.

Riley Mercer et Jacob Leblanc lors d’un match hors-concours au Centre Marcel-Dionne. (Photo d’archives, Ghyslain Bergeron)

À 6 pieds, 1 pouce et 198 livres, celui qui attrape de la main gauche apporte une présence imposante devant le filet.

«J’accorde beaucoup d’importance à mon positionnement. J’essaie toujours de bien suivre le jeu et de contrôler les retours de lancer. J’essaie de contrôler mon jeu et de faire le moins d’erreurs possible pour éviter de devoir plonger pour stopper un retour», a expliqué le portier qui s’est forgé une moyenne de buts alloués de 2,33 et un taux d’efficacité de 0,930 % dans le circuit midget AAA de Terre-Neuve en 2019-2020.

En dehors de la glace, les qualités de Riley ressemblent à celles de son aîné Dawson, qui a défendu les couleurs des Voltigeurs avant lui. «C’est naturel, puisque j’ai grandi en le regardant aller. Les frères ont souvent tendance à se ressembler», a conclu le numéro 67 des Voltigeurs, qui est décrit par son frère comme «un mélange entre Carey Price et Marc-André Fleury».

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