François Choquette veut défendre les citoyens dans le dossier du site d’enfouissement

François Choquette veut défendre les citoyens dans le dossier du site d’enfouissement
Le candidat François Choquette et ex-député de Drummond a déjà été porte-parole du NPD en matière d’environnement. (Photo : Gracieuseté)

ÉLECTIONS. Le candidat du Nouveau Parti démocratique (NPD) François Choquette veut utiliser tous les leviers que lui donnerait un futur mandat comme député fédéral, pour défendre les citoyens dans le controversé dossier du site d’enfouissement de Waste Management

«Le député bloquiste actuel est très discret dans le dossier du site d’enfouissement, affirme l’ex-député de Drummond de 2011 à 2019, dans un communiqué de presse. Comment se positionne-t-il dans ce dossier? Que fait-il? Si la population m’accorde de nouveau leur confiance lors du scrutin du 20 septembre, ce sera un dossier dans lequel je compte m’impliquer!»

«Je sais que c’est un dossier provincial et municipal, mais en tant qu’acteur du milieu, on ne peut rester indifférent en la matière.  L’environnement n’a pas de frontière, n’a pas de juridictions, n’a pas de paliers de gouvernement», poursuit celui qui a été porte-parole du NPD en matière d’environnement lors de son premier mandat.

François Choquette rappelle qu’il était déjà actif lors des premières consultations publiques qui ont eu lieu en 2013 lors du référendum, où la population avait majoritairement refusé le projet d’agrandissement. Il souligne également que ce projet a aussi été rejeté par la Cour supérieure parce qu’elle estimait, entre autres, un manque d’acceptabilité sociale.

Loi sur l’économie circulaire

Une des solutions au problème de l’enfouissement des déchets, estime-t-il, est la lutte contre le fléau de l’obsolescence programmée et des objets à usage unique.

«Si je suis élu lors de cette élection, je compte redéposer mon projet de loi sur l’économie circulaire que j’avais présenté le 23 mai 2019. Il est plus que temps de concevoir les déchets comme des ressources qui doivent être valorisées plutôt qu’enfouies. Il faut aussi avoir une politique de réparabilité des produits. Il est inconcevable qu’il coûte plus cher de réparer un objet que d’en acheter un neuf!» conclut M. Choquette. (CGM)

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