La ventilation est adéquate dans les écoles du CSSDC

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Par Emmanuelle LeBlond
La ventilation est adéquate dans les écoles du CSSDC
Des tests de dioxyde de carbone seront effectués dans 13 écoles et centres de formation de Drummond. (Photo : Archives)

VENTILATION. Selon les tests réalisés pour évaluer les concentrations de dioxyde de carbone (CO2), le Centre de services scolaires des Chênes (CSSDC) confirme que la qualité de l’air est conforme au sein de ses établissements scolaires.  

Au départ, les analyses devaient être effectuées au sein de 13 écoles sur le territoire du CSSDC. Selon les explications de Bernard Gauthier, directeur adjoint du service des communications, le ministère de l’Éducation du Québec est revenu sur sa décision afin de réduire l’échantillonnage. Un total de quatre écoles devait être ciblées.

«Nous avons sélectionné les établissements à partir des critères établis par le gouvernement. Il fallait choisir une école dans chaque catégorie», mentionne M. Gauthier.

L’école primaire Saint-Joseph, le Centre de formation professionnelle Marcel-Proulx, le Centre de formation générale aux adultes (CFGA) Sainte-Thérèse et l’école secondaire La Poudrière figuraient sur la liste.

Les mesures de taux de CO2, d’humidité relative et de température ont été prises en continu ou instantanément dans quatre locaux de chaque bâtiment choisi. Trois prises de mesure ont été effectuées, autant dans les écoles ventilées naturellement que mécaniquement.

Au final, le CSSDC tire un bilan positif. «On respecte la norme dans les quatre endroits qu’on a faits, explique le directeur général du CSSDC Lucien Maltais. On n’a pas d’inquiétudes au niveau de la qualité de l’air.»

Selon les résultats, l’école La Poudrière est légèrement au-dessus de la norme. Parmi les établissements testés, il s’agit de la seule école qui possède une ventilation mécanique.

Rappelons que pour les écoles qui sont ventilées naturellement, les fenêtres doivent être ouvertes, même durant la saison hivernale. «En janvier et en février, on va comprendre que ça sera plus difficile avec le froid», concède M. Maltais.

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