La CCID réactive ses tables de concertation

La CCID réactive ses tables de concertation
Alexandra Houle, directrice générale de la CCID. (Photo : Gracieuseté)

DRUMMONDVILLE. Plus que jamais, les entrepreneurs sentent le besoin de communiquer entre eux afin d’échanger sur les défis actuels auxquels ils font faces. Ayant entendu leur appel, la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond (CCID) réactive ses tables de concertation et invite ses membres à y participer.

Les tables de concertation de la CCID ont été élaborées lors du Colloque du bicentenaire qui a rassemblé divers intervenants par secteur d’activités. À ce colloque, de profondes réflexions ont été entamées et divers éléments à travailler ont été ciblés.

«Il est primordial en ce moment de réactiver ces tables pour assurer le développement socioéconomique dans la MRC de Drummond», insiste Mme Alexandra Houle, directrice générale à la CCID.

On se souviendra notamment du Centre national intégré du manufacturier intelligent (CNIMI) qui a été pensé et créé par la table manufacturière de la CCID. Lors des rencontres, les manufacturiers ont exprimé divers besoins et ils ont élaboré les grandes lignes du projet. Ensuite, la CCID a multiplié les communications avec différents ministères pour obtenir le financement et a rassemblé tous les acteurs du milieu afin de concrétiser le CNIMI.

Dans les prochaines semaines, les membres du conseil d’administration de la CCID communiqueront avec certains acteurs du milieu afin de valider leur intérêt à participer à l’une ou l’autre des tables de concertation. De plus, les entrepreneurs sont invités à faire valoir leur intérêt auprès de la CCID à participer activement à l’une de ses tables.

Ainsi, dès l’automne, les tables de concertation suivantes seront en action : table manufacturière, table main-d’œuvre et table en éducation. La CCID souhaite ainsi initier avec les entrepreneurs des projets qui répondront à leurs besoins et ceux de la communauté, mais également faciliter l’interaction et l’échange de bonnes pratiques. «Les entrepreneurs ont souvent bien des solutions à proposer, mais peu de temps à consacrer à l’élaboration de ces démarches. C’est en se regroupant que naîtront des idées et c’est avec le support de la Chambre qu’elles seront réalisées», conclut Mme Houle. (LT)

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