Deux candidats déjà identifiés (MISE À JOUR)

Deux candidats déjà identifiés (MISE À JOUR)
Dominic Ricard (Photo TC Media – archives

HOCKEY. Au surlendemain du congédiement de Martin Raymond, le processus d’embauche pour lui trouver un remplaçant est déjà bien enclenché chez les Voltigeurs. Deux candidats ont déjà été identifiés par l’état-major hockey de l’organisation drummondvilloise.

«On a eu une réunion hier (dimanche). On a déterminé le profil d’entraîneur qu’on recherche. Deux noms sont sortis. Comme ils sont déjà en poste ailleurs, je préfère taire leur identité», a indiqué le directeur général Dominic Ricard.

MISE À JOUR : En début de soirée, lundi, Ricard a indiqué que les deux candidats approchés par les Voltigeurs ne sont finalement pas intéressés par le poste. Le processus d’embauche est donc de retour à la case départ.

«On a reçu plusieurs candidatures intéressantes. On va prendre le temps de les étudier. On n’est pas pressé. Le processus pourrait durer jusqu’au début de la semaine prochaine», a-t-il précisé.

D’ici à ce que le 20e entraîneur-chef de l’histoire des Voltigeurs soit nommé, Dominic Ricard assumera l’intérim en compagnie des entraîneurs-adjoints Jonathan Lessard, Denis Gauthier, Frédérick Malette et Olivier Michaud. Ricard devrait donc diriger l’équipe lors des deux matchs du week-end, au Centre Marcel-Dionne.

Le coach idéal

Plus précisément, quelles qualités sont recherchées par les dirigeants drummondvillois? L’équipe convoite-elle un entraîneur de la nouvelle vague ou un pilote plus expérimenté?

«C’est beaucoup relié au leadership. On recherche un entraîneur dynamique, émotif et démonstratif. On veut qu’il soit à la fois énergique, à l’écoute des joueurs et qu’il sache s’imposer avec rigueur. Aujourd’hui, pour des jeunes joueurs de hockey de 16 à 20 ans, ce style de leadership est important», a fait valoir Dominic Ricard.

Ce portrait du coach idéal contraste singulièrement avec celui de Martin Raymond, à qui certains partisans des Voltigeurs reprochaient son flegme derrière le banc.

«Martin possède un leadership différent, j’en conviens. Il est un entraîneur plus patient, plus posé. À l’époque, c’est ce qu’on recherchait : un bon père de famille. L’équipe était rendue là dans son cheminement. À sa première année, on a d’ailleurs connu du succès. Mais aujourd’hui, l’équipe est ailleurs. Les joueurs qu’on a sous la main ont besoin d’un leadership différent», a expliqué Dominic Ricard.

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