ÉDUCATION. L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a annoncé aujourd’hui par voie de commnuiqué la création d’une École de gestion qui regroupera, au sein d’une même structure organisationnelle, toutes les activités de formation et de recherche de l’UQTR reliées aux sciences de la gestion.
L’École sera composée de quatre départements nouvellement créés: management, marketing et systèmes d’information, finance et économique ainsi que gestion des ressources humaines. Une quinzaine d’unités de recherche de l’UQTR – dont l’Institut de recherche sur les PME – se joindront également à la nouvelle structure.
Au total, l’École de gestion comptera plus de quarante professeurs et une soixantaine de chargés de cours. Elle accueillera près de 3000 étudiants, inscrits dans des programmes de premier cycle ou de cycles supérieurs.
«Nous souhaitons que ce concept d’École de gestion devienne une image de marque attrayante, favorisant le sentiment d’appartenance des étudiants et diplômés, mais aussi celui des professeurs et chargés de cours. Cette nouvelle entité facilitera également le développement et la consolidation de partenariats, ici et à l’étranger, qu’il s’agisse d’enseignement, de recherche ou de services à la collectivité», a souligné Sylvain Delisle, vice-recteur aux études et à la formation de l’UQTR.
Lancée sous la forme d’un projet pilote d’une durée de trois ans, l’École de gestion sera dirigée par le professeur de marketing Saïd Zouiten. Conférant des responsabilités accrues et une plus grande latitude aux quatre nouveaux départements qui la composent, l’École permettra aussi de stimuler les échanges entre ces départements et les unités de recherche.
Avec le développement important des sciences de la gestion à l’UQTR, les professeurs de ce secteur ont manifesté le souhait d’être réunis suivant leur champ d’expertise, à l’intérieur d’une école comme il s’en trouve ailleurs dans le monde universitaire. Le projet d’École de gestion (www.uqtr.ca/ecoledegestion) se veut ainsi mieux adapté à la réalité, aux besoins et aux aspirations du secteur des sciences de la gestion de l’UQTR.
