La Société d’aide et d’information aux victimes de la DPJ n’aurait pas vu le jour pour rien…

N’ayant jamais croisé le fer avec la DJP, le président de la SAIVDPJ, Gilles Boivin, estime quand même que l’organisation abuse parfois de son pouvoir. Professionnel en relation d’aide et en problèmes de santé mentale, il met en contexte le pourquoi de cette nouvelle Société provinciale.

La secrétaire administrative, Denise Coderre, explique ce qu’elle réclame. Voici un extrait vidéo.

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