Deux candidats de Drummond participeront au débat sur les enjeux francophones

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Par Antoine Martin
Deux candidats de Drummond participeront au débat sur les enjeux francophones
Martin Champoux, du Bloc québécois, et François Choquette, du NPD, lors du débat des candidats dans Drummond. (Photo : William Hamelin)

ÉLECTION. Martin Champoux, député sortant et candidat pour le Bloc québécois, et François Choquette, ancien député et candidat pour le NPD, ont tous deux été invités au débat sur les enjeux francophones organisé par Radio-Canada le 22 avril à 22 h. Le débat aura lieu à Ottawa et sera animé par le chef d’antenne du téléjournal d’Ottawa-Gatineau, Mathieu Nadon.

Les autres participants seront pour le parti libéral, Steven MacKinnon, du côté conservateur, Joël Godin, et pour le Parti vert, ce sera le cochef du parti, Jonathan Pedneault. Ce sera l’occasion pour chaque parti de clarifier sa vision et son plan sur les sujets suivants : s’épanouir en français, travailler en français et la survie du français.

Le candidat du Bloc Québécois dans Drummond, Martin Champoux, est d’ailleurs bien excité à l’idée d’aller défendre les idées de son parti. «C’est toujours une grande fierté de représenter non seulement mon parti, mais aussi l’ensemble des Québécois et des Québécoises dans un débat aussi important que celui des enjeux francophones», mentionne-t-il. Le député sortant espère aussi pouvoir mettre l’accent sur une chose en particulier : «Le Québec, et le Québec seulement, qui est le plus apte à protéger le français et à en assurer la survie».

Ce sera le deuxième débat de ce genre qui sera organisé. Rappelons qu’en 2021, un débat sur le même sujet avait été organisé. Le seul candidat qui refera surface lors du débat de cette année sera François Choquette. Tous les participants à l’exception de Jonathan Pedneault ont déjà été élus en tant que députés.

François Choquette prévoit de faire rayonner les communautés francophones à travers le Canada avec l’aide de ce débat : «les Acadiens, les Franco-Ontariens, les Franco-Albertains, et bien d’autres favorisent l’épanouissement de l’ensemble des francophones, y compris les Québécoises et les Québécois.»

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