Idéologie du genre : William Trottier veut protéger les femmes et les enfants

Idéologie du genre : William Trottier veut protéger les femmes et les enfants
William Trottier. (Photo : gracieuseté)

ÉLECTIONS. Le candidat du Parti populaire du Canada (PPC) dans Drummond, William Trottier, s’engage à protéger les femmes et les enfants de l’idéologie du genre contre ses préjudices, en offrant les actions nécessaires pour adresser les problématiques de notre époque tout en prenant les moyens qu’il faut pour mettre des limites claires.

«Avec le soutien actif de tous les partis de l’establishment, des militants wokes radicaux tentent depuis des années d’imposer l’idéologie du genre et de transformer la société de manière à restreindre les libertés de tout le monde. Cette idéologie toxique, qui contredit les réalités biologiques fondamentales, s’avère particulièrement néfaste pour les femmes et les enfants, se dit d’avis M. Trottier. Elle enseigne aux enfants que leur sexe est déterminé par des stéréotypes. Et s’ils ne se comportent pas en accord avec les rôles masculins ou féminins traditionnels, on les encourage à croire qu’ils sont peut-être nés dans le mauvais corps. Les enfants ne naissent jamais dans le mauvais corps. Il faut apprendre aux enfants à s’accepter, et non à chercher des solutions dans les médicaments et les procédures médicales.»

Le candidat rappelle que le projet de loi C-16, adopté par le gouvernement libéral en 2016, a reconnu l’auto-identification de genre. Depuis, des entreprises et organismes gouvernementaux ont interdit l’utilisation de mots tels que «femme» et «mère» en faveur de «personne ayant des menstruations» et «personne qui accouche».

«Les droits et la sécurité des femmes sont bafoués pour satisfaire les hommes qui prétendent être de l’autre sexe. Les femmes sont confrontées à des hommes dans les vestiaires et les salles de bains. Des criminels mâles violents qui s’identifient comme des femmes sont incarcérés dans des prisons pour femmes. Les femmes doivent rivaliser injustement avec les hommes dans les sports.
Les modes culturelles telles que les heures du conte des drag queens font la promotion de cette idéologie auprès des enfants et donnent l’impression qu’il est normal de s’identifier à l’autre sexe ou à différents genres inventés», expose le candidat.

Le projet de loi C-4, adopté à l’unanimité par tous les partis de la Chambre des communes en 2021, criminalise les parents et les thérapeutes qui essaient d’aider les mineurs souffrant de dysphorie de genre à s’accepter comme ils sont. En pratique, la loi interdit la «thérapie de conversion» dans un sens, mais l’autorise dans l’autre.

«Il est illégal de traiter des enfants pour un trouble mental, mais il est légal de les encourager à suivre une « thérapie d’affirmation du genre » et à mutiler leur corps», déplore William Trottier.

Il poursuit : «La plupart des garçons et des filles souffrant de dysphorie de genre règlent graduellement ce problème en vieillissant. Beaucoup souffrent d’autres troubles mentaux tels que
l’autisme, ou sont sous l’influence temporaire d’un phénomène de contagion sociale. La prise de bloqueurs de puberté à un jeune âge transformera leur corps et les stérilisera à vie, alors qu’ils sont trop jeunes pour évaluer l’impact d’une décision aussi capitale.»

Si le Parti populaire est conduit au pouvoir, M. Trottier indique que le parti soutiendra la criminalisation de la mutilation des mineurs. Par la modification du Code criminel pour interdire l’utilisation de bloqueurs de puberté, d’hormones du sexe opposé et toute forme de mutilation corporelle sur les mineurs dans le but de « transitionner »» vers un autre sexe. En outre, toute personne encourageant des mineurs à effectuer une transition sera tenue pour criminellement responsable d’avoir tenté de leur causer des sévices.

Il est aussi prévu d’abroger la loi C-4 supprimant l’interdiction d’aider les mineurs souffrant de dysphorie de genre à accepter leur corps qui a été imposée par le projet de loi C-4 sur les thérapies de conversion, de définancer les organismes de propagande ainsi que de protéger les espaces réservés aux femmes – prisons, refuges, salles de bains et vestiaires – contre l’intrusion des hommes biologiques. (CGM)

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