Le propriétaire du Laser Force achète le pub La Sainte-Paix

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Par Ghyslain Bergeron
Le propriétaire du Laser Force achète le pub La Sainte-Paix
Yannick Benoît et Yannick Letendre au lendemain de la transaction d'affaires. (Photo : Ghyslain Bergeron)

AFFAIRES. Dans une transaction officialisée pas plus tard que lundi dernier, l’homme d’affaires Yannick Benoît, et sa conjointe Ana Frunza, sont devenus les nouveaux propriétaires du pub La Sainte-Paix de la rue Heriot, à Drummondville.

Yannick Benoît est passionné par les affaires. Il a su flairer l’opportunité, mais surtout, vu le potentiel de ce joyau du centre-ville.

«C’est Yannick Letendre (Kombu) qui m’a parlé que le pub était à vendre. On se connaît depuis quelques années, alors il a pensé à moi. Je compte bien relancer l’événementiel. Je veux que les gens redécouvrent La Sainte-Paix d’il y a quelques années avec les spectacles de musique, les soirées thématiques. Et avec l’une, sinon la plus belle terrasse du centre-ville, je ne pouvais pas passer à côté de cette offre», a expliqué M. Benoît qui est aussi propriétaire de quelques entreprises, dont le centre de divertissements Laser Force.

Yannick Benoît et Ana Frunza sont les nouveaux propriétaires du pub La Sainte-Paix de Drummondville. (photo Ghyslain Bergeron)

L’acquisition du pub viendra justement combler une lacune observée au sein de ses autres actifs. «Parfois, je recevais des groupes qui voulaient relaxer après leur activité. Comme je n’ai pas de permis de boisson au Laser Force et à l’Escarpé, ils vont pouvoir se déplacer ici et terminer leur journée en beauté, et vice-versa», a ajouté M. Benoît.

L’âme du pub sera conservée, mais une cure de rajeunissement sera faite au cours des prochaines semaines. «On va retoucher la décoration, mais les clients ne seront pas dépaysés. Ils y retrouveront l’essence du pub qu’ils sont habitués de voir», a précisé le nouveau propriétaire. Pour l’instant, le pub est ouvert seulement sur réservation et devrait revenir à un horaire régulier au mois d’avril.

Quant à lui, Yannick Letendre, l’ancien propriétaire de La Sainte-Paix fondée en 2016, estime que cette décision devenait essentielle.

«Avec Kombu et Kando, je voyais bien que ça allait en montant. J’avais de bonnes équipes en place au pub, mais le temps commençait à me manquer. Je suis certain que Yannick Benoît en fera quelque chose de bien», a-t-il indiqué.

Les emplois seront préservés, mais d’autres pourraient être créés ultérieurement.

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