COMMERCE. La Société de développement économique de Drummondville (SDED) partage l’arrivée de Maison Jacynthe dans la région. L’entreprise ouvrira une nouvelle succursale au centre-ville de Drummondville le 25 octobre prochain. Pour l’occasion, les portes ouvriront de 16 h à 19 h, puis tous les jours par la suite.
Maison Jacynthe s’installe dans la maison Joseph-Tréfflé-Caya au 209, rue Brock. Jacynthe René et son équipe sont tombés sous le charme de cette maison ancestrale dont l’aménagement intérieur actuel sera à la base de la création des différents espaces suivants: la boutique, le bistro, l’espace beauté et le sauna infrarouge.
Le choix du centre-ville est stratégique dans l’offre de leurs services. Maison Jacynthe (MJ) a débuté à la fin 2014 à La Prairie. MJ Drummondville s’ajoute aux 13 autres boutiques réparties à travers le Québec, et ce, toujours dans des lieux choisis pour préserver le patrimoine des maisons ancestrales. Un choix de gestion qui rejoint leurs valeurs.
L’entreprise évolue dans les domaines de la beauté, du maquillage, des services de soins esthétiques, des apothicaires, des super aliments, des suppléments santé et de la restauration végétalienne, préparée à partir d’ingrédients biologiques.
«Pour nous, Maison Jacynthe poursuit sa route avec la même orientation qu’au début de la création de l’entreprise : partager des inspirations qui ont changé nos vies dans le but que ça change aussi celle de notre précieuse clientèle. Nous promouvons un style de vie qui est le nôtre, nous tentons d’inspirer les gens à bien manger, à faire de l’exercice. Nous parlons de vitamines, de superaliments, de ce qui fait la différence pour nous. Nous aimons penser que tout cela mis ensemble peut aider à la vitalité des gens qui adoptent ce style de vie. On est tellement heureux de s’établir enfin à Drummondville, ça fait longtemps qu’on y travaille. Nous carburons à créer du bonheur, du bien-être», a indiqué Jacynthe René, fondatrice et présidente de Maison Jacynthe.
Rappelons que Maison Jacynthe a fait les manchettes ces dernières années en raison d’un procès pour des accusations d’exercice illégal de la médecine. En mars 2021, l’entreprise avait été reconnue coupable de deux chefs d’infraction pénale en vertu du Code des professions, tel que rapporté par le quotidien La Presse. En juillet dernier, la Cour supérieure du Québec a annulé les jugements de culpabilité et ordonné un nouveau procès. Le Collège des médecins s’est tourné vers la Cour d’appel afin de faire rétablir le premier jugement, indique La Presse. (LPS)
