Une panoplie d’œuvres à découvrir grâce à la cabine à histoires

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Par Emmanuelle LeBlond
Une panoplie d’œuvres à découvrir grâce à la cabine à histoires
La cabine à histoires a fait son apparition à la bibliothèque en décembre. (Photo : Ghyslain Bergeron)

CULTURE. Plonger dans l’univers d’œuvres littéraires de tous genres, voici ce que propose la cabine à histoires, installée à la bibliothèque publique de Drummondville. À l’intérieur de cet espace vitré, petits et grands sont invités à écouter une panoplie de récits, racontés par des narrateurs de la région.

La cabine à histoires est située au deuxième étage de la bibliothèque, dans l’espace des romans pour adultes. Par ses couleurs vibrantes, son apparence contraste avec le décor simple et épuré de l’endroit.

Les usagers peuvent y circuler librement. Tout au bout, il y a un écran. En mettant les écouteurs, ils pourront découvrir 18 œuvres littéraires, pour tous les goûts et pour tous les âges. Biographie sportive, suspense, horreur, drame, science-fiction et roman d’amour, tout y est.

Des histoires de toutes sortes sont accessibles en navigant sur l’écran. (Photo : Ghyslain Bergeron)

«Avec la cabine à histoires, on voulait créer un lieu intime où l’usager est en contact direct avec une œuvre. On propose autant des livres qui ont gagné des prix dans la dernière année que dans des œuvres à découvrir. Les extraits qu’on propose sont tirés de romans, de nouvelles, d’essais ou d’albums jeunesses», explique Élise Granger, coordonnatrice animation et communication au Service des arts, de la culture et de la bibliothèque.

Les extraits sont d’une durée de quatre à six minutes. La narration a été réalisée par des gens d’ici, dont Audrey Benoît, Dominic Boisclair, Gaëlle Tremblay, Leia Lemay et Vincent Meloche.

Tous les livres de la cabine à histoires peuvent être loués. Sur le mur extérieur, la sélection complète s’y trouve. D’ailleurs, le projet est appelé à évoluer. Chaque année, de nouveaux récits feront leur apparition.

Rappelons que la désinfection des mains est demandée, tout comme l’utilisation de couvre-écouteurs. Le port du masque est également requis.

Cette initiative a vu le jour grâce à l’entente de développement culturel de la Ville de Drummondville et du ministère de la Culture et des communications du Québec.

Sur le mur extérieur, les oeuvres ont été déposées sur des tablettes murales. (Photo : Ghyslain Bergeron)
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