Tablée populaire : à la recherche d’un nouveau local

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Par Louis-Philippe Samson
Tablée populaire : à la recherche d’un nouveau local
La Fondation de la Tablée populaire et sa directrice générale, Rachel Bissonnette, désirent prendre leur temps dans la recherche d’un nouvel emplacement au centre-ville de Drummondville. (Photo : Ghyslain Bergeron)

COMMUNAUTAIRE. La Fondation de la Tablée populaire est à la recherche d’un nouvel endroit qui pourra accueillir ses activités. La directrice générale, Rachel Bissonnette, confirme que les locaux actuels ne répondent plus à l’ensemble des besoins de l’organisme.

Les locaux de la rue Loring à Drummondville auraient besoin de travaux que l’organisme ne peut pas se permettre. «Il y aurait beaucoup d’amour à donner dans notre bâtiment. On regarde graduellement pour trouver un nouvel emplacement et voir ce qui pourrait se réaliser. On travaille le dossier avec nos différents partenaires pour évaluer les différentes possibilités tout en restant au centre-ville», a commenté Mme Bissonnette.

La Tablée populaire veut que ses prochains locaux répondent à un ensemble de besoins qui seront bénéfiques pour ses usagers. D’abord, on recherche un endroit plus grand, qui pourra permettre de rassembler les différents lieux de travail et services de l’organisme sous un même toit. Il devra aussi être accessible à l’aide du transport en commun et permettre aux gens à mobilité réduite d’y accéder sans problème. La présence d’une grande salle, pour les repas et autres activités, est aussi nécessaire.

Aucune échéance établie

Bien que le bâtiment actuel demande certains travaux, Rachel Bissonnette préfère ne pas fixer d’objectif quant à une date pour trouver de nouveaux locaux. «Il n’y a pas de date à laquelle nous serons relocalisés qui est déterminée. Nous établissons notre démarche à suivre présentement. On regarde tranquillement comment on peut organiser la relocalisation tout en prenant en compte notre clientèle et l’ensemble des besoins», a poursuivi la directrice générale.

«C’est beaucoup d’argent à investir qu’on ne peut pas mettre auprès de la clientèle pendant ce temps-là, même si on sait que le bâtiment leur sert à eux. Autrement dit, ce n’est pas de l’argent qui est remis directement à la population. On a beaucoup de travaux à réaliser. Il y a beaucoup de choses qui sont à refaire dans le bâtiment et on veut s’assurer d’être là pour les prochaines années et répondre à l’augmentation de la demande», a conclu Rachel Bissonnette.

Rappelons que la Tablée populaire est propriétaire du bâtiment et qu’elle l’occupe depuis 1999.

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