Quatre chansons qui donnent envie de célébrer le printemps

Quatre chansons qui donnent envie de célébrer le printemps
(Photo : Depositphoto)

MAGAZINE. Les arbres retrouvent leurs couleurs, les bourgeons éclatent et les oiseaux se remettent à chanter. La chaleur est enfin à nos portes. Quoi de mieux que d’accueillir la nouvelle saison avec des chansons, composées par des artistes d’ici, qui donnent envie de célébrer?  

Les pigeons voyageurs — Kaïn

Steve Veilleux, chanteur du groupe Kaïn. (Photo Ghyslain Bergeron)

Kaïn est le groupe par excellence lorsqu’il est question d’un voyage sur la route — un roadtrip. On n’a qu’à penser aux chansons Mexico, Embarque ma belle ou Yé midi kek part. L’Express Magazine avait envie de vous faire découvrir une chanson moins connue, mais tout aussi pétillante.

«Juste de penser à rien comme deux poussières qui tombent dans l’vide

Et qui sait quand le matin viendra nous prendre au bout du fil

Juste comme un couple de pigeons voyageurs émerites jusque dans leurs tripes

Qui s’paient le temps d’une fuite un trip d’égoïstes»

Après avoir entendu Les pigeons voyageurs, écrite par le chanteur Steve Veilleux, difficile de ne pas avoir envie de prendre le large.

Le bonheur est tranquille — Gaston Mandeville

Gaston Mandeville.

Décédé en 1997, Gaston Mandeville était un artiste drummondvillois un peu bohème. Sa composition Le Vieux du bas du fleuve est devenue un classique de la chanson québécoise. Voici une autre de ses compositions, qui raconte l’histoire du bonheur dans toute sa simplicité.

«La route trébuche à travers les montagnes

Aux lueurs chaudes d’un soir de campagne

Le ciel se ferme les yeux pour s’endormir

Pour mieux cacher son envie de sourire»

Hawaiienne – Les Trois Accords

Les Trois Accords. (Photo archives – L’Express)

Hawaiienne, qu’on a pu entendre sur le premier album des Trois Accords, Gros mammouth, est un grand classique, mais toujours aussi efficace quand c’est l’heure de fêter. Assurément, les paroles du groupe donnent envie de s’envoler vers un pays colorés d’ananas.

«J’aurais voulu que tu sois Hawaïenne

Pour que tu portes une jupe en osier

Et que tu me dénudes ces petits pieds»

Cette chanson nous rappelle que très bientôt, nous pourrons dénuder nos petits pieds et les plonger dans le sable chaud!

Larmes du printemps — Gregory Charles

Gregory Charles. (Photo d’archives – L’Express)

Larmes du printemps est une œuvre que l’on retrouve sur l’album instrumental Len que Gregory Charles a composé en mémoire de son défunt père, Lennox.

Dans son vidéoclip, Gregory Charles joue du piano, sur le bord d’un grand lac sauvage. On découvre la beauté naturelle du parc Kiamika situé dans les Hautes-Laurentides.

La pièce est sans paroles, mais elle a l’audace de réveiller nos émotions.

 

 

 

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