Jean-Pierre Sévigny parmi les bâtisseurs du tennis drummondvillois

Jean-Pierre Sévigny parmi les bâtisseurs du tennis drummondvillois
Jean-Pierre Sévigny. (Photo : gracieuseté du Challenger, Jean-Samuel Gauthier)

TENNIS.  Les organisateurs du Challenger de tennis Banque Nationale de Drummondville ont profité du lancement de la sixième édition pour annoncer que Jean-Pierre Sévigny fera son entrée au Cercle des bâtisseurs du tennis drummondvillois, le 21 février prochain.

Le nouvel intronisé rejoindra donc René Verrier (2015), Jacques Boileau et Jean-Guy Gauthier (2017), Gérard Lefebvre (2018) et Anne Veillette (2019).

«Parler de Jean-Pierre Sévigny, c’est évoquer 30 années dédiées au développement du tennis. Il a toujours œuvré dans l’ombre, mais son engagement s’est avéré indispensable. C’est à 18 ans que son aventure avec le tennis débute et que ses talents de joueur et d’entraîneur sont remarqués», a évoqué le coprésident du Challenger de Drummondville, Alain Caillé.

Excellent joueur, M. Sévigny a été membre du club de Drummondville et a évolué au sein de ligues interrégionales et provinciales. Au début des années 1970, René Verrier lui a confié la responsabilité de s’occuper des jeunes joueurs les plus prometteurs de la région. Il voyait alors à la supervision des entraînements, qu’il voulait individuels et personnalisés.

«Nombreux sont les joueurs de Drummondville à avoir apprécié ses qualités humaines, ses conseils judicieux et sa grande disponibilité. Jean-Pierre Sévigny fait l’unanimité à cet égard», a fait remarquer Alain Caillé.

Avec le temps, M. Sévigny est devenu un spécialiste de l’entretien des terrains de tennis. «Consciencieux et très travaillant, c’est avec fierté qu’il s’est assuré de la qualité de plusieurs terrains à Drummondville, notamment ceux du parc Woodyatt. Grâce à lui, les terrains de la ville étaient reconnus à l’échelle provinciale comme étant les meilleurs au Québec. Apprécié de tous, il a été un modèle d’engagement pour le développement du tennis et un pilier pour le tennis d’ici», a affirmé Alain Caillé.

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