INSOLITE. Un citoyen de Drummondville, Jean Boissonneault, a eu toute une surprise il y a quelques jours alors qu’une dizaine de dindes sauvages glougloutaient à tout vent dans sa cour.
«Elles étaient là, dans ma cour, à picorer tout ce qu’elles trouvaient sur leur chemin», a communiqué M. Boissonneault, qui était bien surpris de cette visite particulière.
Ce dernier habite sur la rue Labbé, dans le secteur Saint-Nicéphore.
Si sa rencontre demeure surprenante, ce n’est pas pour autant un volatile rare en région.
De fait, la dinde sauvage est particulièrement présente dans la région centricoise. On parlerait même d’une «explosion démographique» de l’espèce au Québec, ce qui n’est pas sans déranger les agriculteurs, puisque mesdames-les-dindes ne se gênent pas pour s’alimenter directement dans la nourriture des bovins.
S’il est permis de chasser la dinde sauvage au printemps, sachez qu’il est strictement interdit d’envisager cette possibilité en automne… même à quelques semaines du temps des Fêtes!
