Manger du spaghetti pour une bonne cause

Manger du spaghetti pour une bonne cause
Jacques Fafard, président du comité organisateur, Yvon Lamoureux du collège Ellis, Méranie Roy, agente de développement, Vicky Boisvert, directrice de L’Établi et Martin Ruel, président d’honneur. (Photo : gracieuseté)

PHILANTROPHIE. Désormais devenu un incontournable, le spaghetton pour la Société canadienne du cancer (SCC) aura lieu à la brasserie urbaine l’Établi, le 25 novembre prochain, entre 11 h et 21 h.

Il sera possible de dîner au profit de la SCC ou encore de profiter d’un bon souper. «Comme la formule souper-spectacle a été une réussite en 2018, elle sera de retour cette année», souligne le SCC par voie de communiqué.

Lilipier Ruel sera l’invitée principale et elle recevra d’autres artistes tels qu’Olivier Beaulieu.

Touché directement par la cause en raison de la perte de quelques proches, Martin Ruel, propriétaire des marchés IGA Clément de Drummondville, a décidé d’accepter le rôle de président d’honneur pour une deuxième année consécutive.

«Chaque action que nous prenons pour offrir de l’espoir et une meilleure qualité de vie aux personnes atteintes de cancer est importante. J’espère qu’encore cette année, les gens de Drummond seront au rendez-vous», affirme Martin Ruel. Il compte dépasser amplement l’objectif fixé à 12 000 $.

Il est possible de se procurer un billet pour le dîner au coût de 25 $ ou pour le souper au coût de 30 $. Ils sont en vente dès maintenant au bureau de la SCC Centre-du-Québec.

Des statistiques encourageantes

Le rapport Statistiques canadiennes sur le cancer 2019 a révélé que sur une période de 20 ans, les progrès au chapitre de la survie après 5 ans pour les cancers du sang les plus fréquents ont été plus grands que pour tous les autres cancers.

Depuis le début des années 1990, la survie globale au cancer a grimpé de huit points de pourcentage, passant de 55 à 63 %, alors que la survie aux cancers du sang les plus fréquents a augmenté de 16 à 19 points de pourcentage.

La plus forte hausse a été enregistrée pour le lymphome non hodgkinien (de 49 % à 68 %), suivi du myélome multiple (de 27 % à 44 %) et de la leucémie (de 43 % à 59 %).

«Ces progrès découlent principalement des recherches qui ont conduit à des améliorations en médecine de précision, aussi appelée médecine personnalisée», souligne le rapport.

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