C’est sous un éclairage tamisé, dans la basilique Saint-Frédéric de Drummondville uniquement illuminée de chandelles et donc dans une ambiance des plus feutrées et des plus propices à l’écoute, que les musiciens du quatuor à cordes «Ambitus» se présenteront, le vendredi 6 septembre à 20 h, avec nulle autre intention que de faire vivre une soirée musicale placée sous le signe du charme, de l’élégance, du ravissement et de l’émerveillement.
«Ce soir-là, une merveilleuse musique, infiniment bienfaisante, s’élèvera et envahira la basilique d’une lueur empreinte d’une beauté et d’une sérénité indicible. Une soirée qui se distinguera avant tout par la mélodieuse résonnance d’une musique aussi belle que réjouissante.
Bref, un concert particulier, qui se veut bien davantage qu’un simple divertissement… un moment de bonheur pour l’âme», explique Michel Corbeil.
En guise de lever de rideau, les spectateurs assisteront au fameux «Canon» de Pachelbel, l’une des œuvres les plus connues de la musique classique. «Ce sera suivi d’un medley des quatre plus beaux tangos jamais composés et par un concerto pour violon de nul autre qu’Antonio Vivaldi. Puis, une musique bien de chez nous : l’Automne de Galzounov (la musique thème des Belles histoires des pays d’en-haut) ainsi que la musique du film «Un homme et son péché», ajoute Michel Corbeil.
«Charles Aznavour avec ses quatre plus belles chansons, dont «La Bohème», enchantera à coup sûr les auditeurs pour ensuite terminer la première partie par trois extraits de la suite pour orchestre de l’opéra «Carmen» de Georges Bizet, incluant le fameux Toréador. Le Boléro de Ravel, suivi d’une pièce surprise, ouvrira la seconde partie du concert suivi du plus connu et du plus beau de tous les concertos pour Violon de Vivaldi.»
«Une autre valse sera jouée : «Le beau Danube bleu» de Strauss. Un grand medley des plus belles chansons des Beatles ne manquera pas d’évoquer en nous la nostalgie des plus belles mélodies du groupe le plus populaire de tous les temps. Nous conclurons sur une note plus joyeuse avec la 5e danse hongroise de Brahms», conclut Michel Corbeil.