Vente de livres : l’APPAD reçoit 15 140 $

Photo de Ghyslain Bergeron
Par Ghyslain Bergeron
Vente de livres : l’APPAD reçoit 15 140 $
Emmanuelle Blanchard (coordonnatrice), Audrey Beaulieu (intervenante), Isabelle Aubin (instigatrice du projet) et Maryse Vallée (intervenante). (Photo : Gracieuseté)

GÉNÉROSITÉ. La librairie Tourne la page de la rue Lindsay, qui a récemment tenu une méga vente de livres usagés, a été en mesure de remettre les profits amassés, une somme de 15 140 $, à l’Association des personnes proches aidantes Drummond (APPAD).

C’est entre 12 000 et 15 000 livres qui étaient offerts au public. La vente s’est déroulée sur deux jours, mais une longue préparation a impliqué les bénévoles de l’APPAD. «Je me prépare toute l’année, mais j’ai eu une belle gang encore cette année pour m’appuyer. Ils se sont beaucoup investi et ça paru. Ils ont aussi mis la main à la pâte pour la vente. Même si le mauvais temps a pu jouer sur l’achalandage, je suis contente du succès», a mentionné Isabelle Aubin, l’organisatrice de la vente.

Depuis 5 ans, ce sont plus de 75 000 $ qui ont été remis à des organismes de la région.

Emmanuelle Blanchard, coordonnatrice de l’APPAD, n’avait que des remerciements à faire à Mme Aubin. «C’est comme un cadeau tombé du ciel. On a tous travaillé fort pour faire de cet événement un succès. En fin de compte, c’est l’APPAD qui en profite. Les besoins sont en constante augmentation et un montant de cette importance, c’est près de 10 % de notre budget annuel», a-t-elle exprimé.

Entre 12 000 et 15 000 livres ont été mis en vente.

La somme reçue fera l’objet d’une réflexion quant à l’utilisation future.

L’APPAD a pour mission d’œuvrer à l’amélioration du bien-être et de la santé des personnes proches aidantes de la MRC Drummond.

Plusieurs vies pour les livres

À la suite de l’événement, plusieurs livres sont restés sur les tables, mais Isabelle Aubin tient à rassurer les donneurs. «Il y a très peu de perte. À moins que le livre soit brisé ou contaminé, il trouve preneur. J’ai maintenant des gens qui envoient des caisses de livres en Haïti et en Afrique. Ici, on donne de l’argent aux organismes et ailleurs, on leur donne la chance de lire», a-t-elle expliqué, en conclusion.

Partager cet article