Sarah Saint-Cyr Lanoie veut succéder à la conseillère Isabelle Marquis

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Par Jean-Pierre Boisvert
Sarah Saint-Cyr Lanoie veut succéder à la conseillère Isabelle Marquis
Sarah Saint-Cyr Lanoie (Photo : Archives Ghyslain Bergeron)

POLITIQUE ­– Au lendemain de l’annonce officielle du départ de la conseillère municipale Isabelle Marquis, Sarah Saint-Cyr Lanoie, ex-candidate de Québec Solidaire dans Johnson, fait savoir qu’elle se présentera à l’élection partielle, prévue pour la mi-juin, dans le district 4 de la Ville de Drummondville

Dans un communiqué qu’elle a transmis ce matin, Sarah Saint-Cyr Lanoie se dit prête à faire le saut en politique municipale, près de six mois après s’être classée deuxième derrière André Lamontagne, aux élections provinciales.

Elle estime que «les municipalités sont au centre des enjeux sociaux, économiques et écologiques actuels et qu’elles possèdent un potentiel de transformation sociale inédit. Concernant les changements climatiques, la question n’est plus de savoir si on doit agir ou non, il faut maintenant que l’environnement devienne notre priorité numéro 1. Il en va de notre santé à tous et de l’avenir de nos enfants», a-t-elle fait valoir.

Mère d’un garçon et d’une fillette, elle souligne qu’elle est native du district 4 et qu’elle y accorde un attachement tout particulier. «Notre cour, à mon frère et moi, c’était le parc Sainte-Thérèse. On y allait pratiquement tous les jours l’été».

Bachelière de l’Université de Montréal en cinéma-communication, Mme Saint-Cyr Lanoie rappelle qu’elle a habité six ans en France et y a fondé sa famille. De retour en 2016, elle se joint à une entreprise dans le domaine du multimédia et de la réalité virtuelle à L’Avenir. Elle est bénévole à la Jeune chambre de commerce de Drummondville, membre du Club Richelieu féminin Drummondville, membre du comité consultatif d’urbanisme et a fait partie en 2018 de la Commission des arts et de la culture de Drummondville.

Elle souhaite pour le district 4 la revitalisation de certains secteurs. «Pour une vie de quartier plus épanouissante, j’imagine des aménagements urbains qui embellissent le district et des commerces de proximité qui procurent un milieu de vie à échelle humaine», a-t-elle exposé.

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