L’OTAN impatiente de rencontrer Stéphane Dion

L’OTAN impatiente de rencontrer Stéphane Dion
Stéphane Dion et Justin Trudeau (Photo : PC)

Stéphane Dion n’est même pas encore arrivé à Bruxelles, siège de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN), que déjà on se bouscule pour obtenir une rencontre avec le nouvel homme fort de la diplomatie canadienne.

Le personnel canadien au sein de l’OTAN reçoit des demandes de représentants des pays de l’alliance militaire anxieux de connaître la position du nouveau gouvernement à Ottawa dans les dossiers chauds de l’heure, notamment la récente confrontation avec la Russie et l’influence croissante du groupe armé État islamique en Libye. M. Dion rejoindra aujourd’hui et mercredi en séance plénière les 28 autres ministres des Affaires étrangères des pays membres de l’OTAN. Plusieurs de ces pays ont hâte de faire le point avec le nouveau gouvernement de Justin Trudeau sur le retrait annoncé du Canada des opérations de frappes aériennes contre l’État islamique en Irak et en Syrie.

La Saskatchewan prévoit un déficit de 262 M $

Le gouvernement de la Saskatchewan, aux prises avec une baisse prolongée des prix du pétrole, doit mettre un frein à ses dépenses. Dans une mise à jour budgétaire publiée lundi, la province prévoit maintenant un déficit de 262 M $, alors qu’elle espérait plutôt en mars dernier un surplus d’un peu plus de 100 M $. Le ministre des Finances, Kevin Doherty, attribue cet écart à la baisse constante et prolongée des prix du pétrole, qui affecte les recettes fiscales de la province. Le gouvernement du Parti saskatchewanais (droite) évoque aussi des récoltes agricoles moins importantes que prévu cette année et une croissance ralentie chez certains des principaux partenaires économiques de la province.

Un député libéral souffre de la maladie de Lou Gehrig

Atteint de la maladie de Lou Gehrig, le député libéral Mauril Bélanger a décidé de retirer sa candidature pour le poste de président de la Chambre des communes. Le représentant de la circonscription ontarienne d’Ottawa-Vanier dit avoir appris au cours des derniers jours qu’il souffrait de cette maladie incurable. Il a précisé qu’il continuera à siéger comme député à la Chambre des communes, mais qu’il se retire de la course à la présidence «étant donné l’avis du médecin». Député d’expérience, Mauril Bélanger a été élu sans interruption sous la bannière libérale depuis 1995 dans sa circonscription de la capitale nationale.

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