TENNIS. Les organisateurs de la première édition du Challenger Banque nationale de Drummondville ont reçu une fort bonne nouvelle qu’ils désirent partager avec les amateurs de tennis : c’est une cagnotte de 50 000 $ américains, plutôt que de 40 000 $ tel que prévu initialement, qui sera remise en bourses aux gagnants de la compétition.
C’est le directeur des tournois chez Tennis Canada, Richard Quirion, qui a confirmé le tout à Alain Caillé, Pierre Desrosiers et Stéphan Hamel, initiateurs du quatrième tournoi de tennis masculin en importance au Canada, qui se déroulera du 14 au 22 mars 2015, dans les locaux de Tennis intérieur René-Verrier.
«L’Association de tennis professionnel (ATP) souhaite aider ses joueurs à gagner plus d’argent lors des tournois du circuit Challenger. Pour cette raison, l’ATP subventionnera une partie de l’augmentation de la bourse de 10 000 $», a expliqué Richard Quirion, qui est le premier à se réjouir de cette décision.
Porte-parole du comité organisateur, Alain Caillé est d’avis que les impacts de cette augmentation ne pourront qu’être positifs. Le fait de bonifier les bourses à 50 000 $ se répercute en effet sur l’attribution des points ATP octroyés aux participants.
«En étant plus attrayant au niveau des points et au niveau financier, le Challenger Banque nationale de Drummondville pourrait attirer des joueurs mieux classés, dont potentiellement certains du top 100 mondial. Pour nous et pour les spectateurs qui assisteront aux matchs, c’est extrêmement intéressant», a affirmé un Alain Caillé visiblement heureux de la tournure des événements.
C’est sans compter l’apport de cette nouvelle sur les joueurs canadiens. «Ceux qui prendront part au tournoi se verront attribuer plus de points et d’argent, ce qui favorisera leur développement et leur progression sur le circuit de tennis professionnel», a conclu Richard Quirion.
Voilà donc de quoi insuffler une bonne dose d’énergie aux bénévoles qui s’affairent à mettre en place un événement qui marquera sans doute l’histoire du tennis à Drummondville, le printemps prochain. (JH)
