Planète poutine ou la restauration rapide réinventée

Planète poutine ou la restauration rapide réinventée

Un petit creux? Planète Poutine, restaurant ouvert officiellement depuis le 17 janvier, offre le traditionnel et populaire met québécois réinventé de façon originale.

Planète poutine propose un menu original, diversifié et alléchant de ce met typiquement québécois. Les clients peuvent y déguster une douzaine de poutines différentes, allant de la général Tao à la poutine aux côtes levées, en passant par la fajitas et celle au filet mignon.

«En fait, on cuisine la poutine avec des aliments de luxe. Toutes nos sauces ont été créées par nous-mêmes. On les assaisonne d’épices et d’herbes fraîches», explique le franchiseur Yves Junior Boissonneault, en affaires avec son ami de longue date, Alexandre Auger, deux Trifluviens.

Les clients peuvent également opter pour d’autres classiques réinventés, tels que des hamburgers, des hot dogs ou bien des tapas.

«Dans quelques mois, plusieurs choix de hot dog seront ajoutés au menu. Nous sommes à peaufiner les recettes», souligne le franchiseur.

Propriété de Nicolas et Yannick Bourque, des jumeaux, ainsi que de leur sœur Véronique, le restaurant Planète Poutine est situé dans les anciens locaux du Collège Ellis, au 400, rue Heriot. Il comprend une quarantaine de places assises dans un décor épuré et est ouvert de 10 h à 20 h, du dimanche au mercredi, et de 10 h à 6 h, du jeudi au samedi.

«Les heures du week-end ont été pensées en fonction des personnes sortant des clubs à 3 h du matin et celles qui y travaillent», laisse entendre M. Boissonneault.

Un service de livraison couvrant une grande partie du territoire de la ville est également offert.

Jeudi midi, lors de l’ouverture, près de 200 clients, la majorité étant des étudiants, se sont montré le bout du nez, au grand bonheur des jeunes propriétaires.

Sept personnes, incluant les trois gestionnaires, y travaillent.

MM Boissonneault et Auger ont d’abord ouvert leur premier restaurant à Trois-Rivières le 23 février 2012. Un second s’est établi en sol montréalais il y a quelque mois. Celui de Drummondville est donc le troisième.

«Une ouverture est prévue très prochainement au Cap-de-la-Madeleine. Notre objectif est de compter sept succursales», souligne M. Boissonneault.

«C’est la franchise la plus abordable qu’on retrouve sur le marché. Pour environ 60 000 $, un franchisé est en mesure de démarrer ses activités. Il était important pour nous de faire en sorte que les propriétaires n’attendent pas dix ans, par exemple, avant que leur restaurant soit rentable», conclut-il.

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