Virus informatique à la CSDC : le retour à la normale

Virus informatique à la CSDC : le retour à la normale
Serveur de la Commission scolaire des Chênes. (Photo : Archives - Erika Aubin)

ÉDUCATION. La Commission scolaire des Chênes (CSDC) vit un retour à la normale, à la suite du virus qui affectait son réseau informatique depuis la mi-septembre. Les membres du personnel ont donc accès aux différents outils et applications technologiques dont ils ont été temporairement privés au cours des dernières semaines.

«La problématique que nous avons vécue a donné lieu à une opération d’envergure. Nous sommes bien conscients que chacun a dû faire preuve d’adaptation et de débrouillardise dans les circonstances. Tout le monde a mis l’épaule à la roue et j’en suis très fier. Bien sûr, il faut saluer tous les membres de l’équipe du Service des technologies de l’information (STI), en commençant par son directeur, Claude Dufour», a exprimé le directeur général de la CSDC, Lucien Maltais, par l’entremise d’un communiqué de presse.

Bien que le STI procédera encore à quelques interventions dans les différents services et établissements au cours des semaines qui viennent, la CSDC a affirmé que cet incident est chose du passé. Par ailleurs, si les premiers signes du virus se sont manifestés à la mi-septembre, il importe de préciser que la remise en service du réseau, des applications et des différents postes de travail s’effectue de façon graduelle depuis plusieurs semaines déjà.

«Compte tenu de la somme considérable d’interventions effectuées par le STI, il n’est pas impossible que nous vivions quelques soubresauts momentanés de nature technique à court terme, ce qui est normal dans les circonstances. Le STI posera alors les gestes utiles. Il faut comprendre que tout a été passé au peigne fin : serveurs, postes de travail, applications, accès au réseau et j’en passe. Des ajustements pourraient encore s’avérer nécessaires dans certains cas. Ce que je retiens, au bout du compte, c’est que nous ressortons grandis de cet épisode et mieux outillés pour faire face à l’avenir», conclut Lucien Maltais.

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