Parc Jacques-Parizeau : la Ville rend hommage à un bâtisseur québécois

Parc Jacques-Parizeau : la Ville rend hommage à un bâtisseur québécois
Alexandre Parizeau, Hadrien Parizeau, Lisette Lapointe, Alexandre Cusson, Normand Jutras et Jean Charest devant la stèle commémorative. (Photo : Mathieu fontaine)

COMMUNAUTÉ. C’est hier que la Ville de Drummondville a procédé à l’inauguration du parc Jacques-Parizeau, anciennement appelé parc Joly. Pour l’occasion, Lisette Lapointe, veuve de M. Parizeau, était présente en compagnie de ses deux petits-fils, Alexandre et Hadrien.

Plus d’une trentaine de personnes s’étaient déplacées sur la rue Joly, près de la rue des Pins, afin d’assister à cette cérémonie au cours de laquelle Alexandre Cusson et Lisette Lapointe ont pris la parole pour honorer l’ex-premier ministre. Le maire en a d’ailleurs profité pour rappeler l’importance de la toponymie pour la Ville de Drummondville. «Tous les anciens premiers ministres du Québec qui sont décédés ont une rue ou un endroit à leur nom, a-t-il rappelé. Nous avons demandé à la Commission de la toponymie et de la reconnaissance civique de nous faire une recommandation et c’est ce qui nous a mené à cette inauguration. La toponymie est un moyen de faire connaître, d’éduquer et de commémorer nos grands ambassadeurs québécois», ajoute-t-il.

De son côté, Mme Lapointe a tenu à rappeler l’importance de Drummondville pour son défunt mari. «Il considérait que c’était une capitale régionale vraiment dynamique! En plus d’être à l’avant-garde du développement économique, Drummondville a toujours mis de l’avant des activités culturelles intéressantes. Nous sommes venus plusieurs fois et nous avons tissé des liens d’amitié avec beaucoup de gens d’ici. Il serait très heureux, mais surtout très fier d’être avec nous aujourd’hui», a-t-elle exprimé.

Mme Lapointe et M. Cusson ont ensuite dévoilé la stèle commémorative sur laquelle on peut lire plusieurs faits d’armes de la carrière de Jacques Parizeau. «La stèle commémorative est à la hauteur de l’homme que j’ai connu. C’est très touchant de voir que son œuvre restera gravée à Drummondville à tout jamais», conclut Mme Lapointe.

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