Sébastien Schneeberger souligne le travail invisible

Sébastien Schneeberger souligne le travail invisible
Le député Sébastien Schneeberger avec Jocelyne Fontaine, présidente de l’Afeas de Saint-Félix-de-Kingsey, Suzanne Dandurand, conseillère municipale, et Hélène Bergeron, présidente de l’Afeas du Centre-du-Québec. (Photo : (Photo gracieuseté))

POLITIQUE. Le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, a souligné le travail invisible lors d’une journée organisée le 3 avril par l’Afeas de Saint-Félix-de-Kingsey.

À cette occasion, l’Afeas kingséenne a reçu les représentantes de l’Afeas du Centre-du-Québec et des 22 autres associations de la région.

«Non seulement le bien ne fait pas de bruit, mais en plus il est souvent caché, a dit M. Schneeberger. C’est donc une joie de vous voir en personne. Décidément, l’Afeas a de la suite dans les idées. Depuis cinq décennies, vous contribuez à faire reconnaître le travail non rémunéré des femmes au foyer, au sein de la famille et dans la communauté. Et votre influence positive se traduit par une implication croissante des hommes.»

«Le rôle des parents à l’égard des enfants et le travail des personnes aidantes auprès de gens âgés, malades, handicapés ou en perte d’autonomie ont une valeur inestimable, a-t-il ajouté. Le travail invisible correspond à la générosité ancestrale des femmes. Ce dévouement se poursuit même une fois que vous êtes parvenues à la retraite. En mettant à profit votre habileté et votre expérience, vous êtes dans la société comme le levain dans la pâte.»

Faisant allusion à la révision de la Loi sur les normes du travail, le député a mentionné quelques améliorations à apporter :

  • rendre les horaires plus flexibles et accorder plus de congés pour prendre soin d’un enfant ou d’un parent;
  • tenir compte de la réalité des familles d’aujourd’hui dans les crédits d’impôt pour l’aide aux proches;
  • offrir plus de services sociaux;
  • mieux soutenir les organismes communautaires;
  • faciliter la réintégration au travail après un arrêt prolongé.

En conclusion, M. Schneeberger a complimenté l’Afeas.

«Au bout du compte, il restera toujours des fonctions et des tâches qui passent inaperçues. Je vous remercie de nous faire prendre davantage conscience de leur valeur sociale et économique.»

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