Mieux gérer l’anxiété, un petit pas à la fois

Mieux gérer l’anxiété, un petit pas à la fois
La hausse des loyers a un impact direct sur l’appauvrissement des ménages locataires. (Photo : Depositphotos)

Voici quelques pistes de solution, suggérées par les intervenants qui ont accepté de contribuer à ce dossier, afin d’aider à mieux gérer l’anxiété.

Des pistes de solution

Pour les étudiants collégiaux et universitaires

– S’entourer d’un bon réseau social.
– Élaborer des stratégies, comme mettre sur pied un horaire d’études réaliste ou des objectifs précis. Des ateliers sont d’ailleurs donnés à l’UQTR à ce sujet, et beaucoup de ressources sont disponibles en ligne sur les sites Internet de l’Université Laval et de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), par exemple.
– Conserver un bon équilibre, comme un sommeil régulier, de l’activité physique et une saine alimentation.
– Essayer de ne pas se comparer aux autres étudiants, et plutôt se concentrer sur ses propres résultats.
– Diminuer les heures de travail rémunéré, si c’est possible.
– Ne pas hésiter à demander de l’aide si le besoin s’en fait ressentir.

Pour les enseignants

Mieux les informer et les outiller afin d’approfondir leurs connaissances sur les troubles anxieux et leurs conséquences de façon à pouvoir intervenir plus rapidement et facilement.

Pour les proches

– Se montrer empathique à la détresse vécue.
– Considérer la personne telle qu’elle est et l’aider à se définir autrement que par son trouble anxieux.
– L’encourager à chercher de l’aide professionnelle au besoin.
– Promouvoir des changements positifs.
– S’informer sur les caractéristiques du trouble, son évolution et les traitements appropriés.
– Reconnaître et renforcer le moindre progrès, aussi petit soit-il.
(Source : Institut universitaire en santé mentale de Montréal)

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