Défi Spin8 : une autre édition réussie pour les organisateurs

Défi Spin8 : une autre édition réussie pour les organisateurs
C’est dans une ambiance festive que s’est déroulé le Défi Spin8. (Photo : Mathieu Fontaine)

CYCLISME. C’est samedi, au Gymnase Drummond, qu’avait lieu la dixième édition du Défi Spin8. Avec plus de 125 participants, l’organisation pourra encore une fois financer un projet de la région de Drummondville.

Au cours de la dernière décennie, plus de 125 000$ ont été amassés pour venir en aide à la population drummondvilloise. Cette année, entre 16 000$ et 18 000$ seront remis à la Tablée Populaire. «Encore une fois, nous affichons complet aujourd’hui, lance Guy Therrien, l’un des membres du comité organisateur du Défi Spin8. Grâce à cette belle participation, nous allons être en mesure de fournir l’argent nécessaire pour la réfection du mobilier de la salle principale de la Tablée populaire de Drummondville. Toutes les chaise et les tables à manger seront remplacées dans les prochaines semaines», ajoute-t-il.

Les organisateurs n’ont pas eu de difficulté à atteindre leur objectif de 15 000$ avec leurs différents moyens de financement. «Nous vendons des vélos stationnaires à des entreprises locales au coût de 500$ de l’heure. Ainsi, quatre employés de chaque compagnie sont invités à venir pédaler pendant 60 minutes pour soutenir la cause», explique M. Therrien.

En plus des participants, quatre ambassadeurs viennent annuellement représenter leur entreprise respective. Cette année, Marcel Saucier (Addison électronique), Sylvain Audet (Metalus), Gaston Langlais (Architecte Gaston Langlais) et Gerry Gagnon (Centre d’excellence en productivité manufacturière) se sont déplacés pour amasser des fonds.

Sans surprise, le Défi Spin8 sera de retour en 2019, mais sous la gouvernance d’un nouveau comité. «C’est Daniel Wysocki, de la firme Bernier Fournier avocats, et Francois Bourbeau, de la Banque Laurentienne, qui prendront la relève. Je peux vous assurer que l’avenir de l’événement est entre bonnes mains», conclut Guy Therrien.

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