Un ancien bâtonnier revient à la pratique à Drummondville

Un ancien bâtonnier revient à la pratique à Drummondville
Gilles Gagnon revient à la pratique du droit.

Me Gilles Gagnon, juge de la Cour du Québec maintenant à la retraite et ancien Bâtonnier pour le district d’Arthabaska, s’est joint à l’équipe du cabinet d’avocats Bernier Fournier de Drummondville et y offre ses services juridiques depuis le 1er octobre 2015.

Désireux de transmettre les connaissances acquises au fil des ans, Me Gagnon revient à la pratique dans le but «de continuer à exercer le travail qui l’a toujours animé.»

Me Gagnon a entrepris des études au Séminaire de Nicolet en complétant, en 1967, un baccalauréat « es arts ». Par la suite, ce dernier a poursuivi ses études en droit à l’Université d’Ottawa, d’où il a obtenu sa licence en 1970. À la suite d’un stage de formation professionnelle au bureau de Me André Biron, il a débuté sa pratique du droit à Drummondville en 1971 au bureau de Me Michel Duchesne.

En 1972, Me Gagnon s’est joint à Me Roger Blais. Finalement, il a fondé sa propre étude en 1976 et a exercé le droit, à titre d’avocat généraliste à Drummondville jusqu’à sa nomination au poste de juge à la Cour du Québec en 1989. Il a quitté ses fonctions de la magistrature en juin 2015.

Fort d’un impressionnant parcours juridique et d’une carrière d’avocat de près de 20 ans, Me Gilles Gagnon s’est démarqué par son implication au niveau communautaire, plus particulièrement par son engagement au sein du Club Rotary ainsi que par son engagement au niveau des services publics.

Notamment, ce dernier a été secrétaire de la municipalité de St-Cyrille-de-Wendover de 1977 à 1983, maire de la Ville de Drummondville-Sud de novembre 1979 à décembre 1981 et maire adjoint de la Ville de Drummondville de décembre 1981 à novembre 1983, cumulant à cette même époque, la présidence de la Commission économique Drummond, ancêtre de la SDED.

Sur le plan scolaire, Me Gagnon s’est également impliqué en siégeant sur le conseil d’administration de la Commission St-François pour la période de 1985 à 1987 ainsi que sur celui du Cégep de Drummondville de septembre 1986 à juin 1989. Il est aussi l’un des visionnaires et membres fondateurs de la Fondation Sainte-Croix, fondation désormais connue sous le nom de Fondation Ste-Croix/Hériot qui permet, à ce jour, de recueillir des fonds afin d’offrir de meilleurs services à la population. (JÉ)

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