Une vingtaine de sinistrés hébergés à l’hôtel temporairement

Une vingtaine de sinistrés hébergés à l’hôtel temporairement
La Croix-Rouge est intervenue dès les premières heures du sinistre

DRUMMONDVILLE. Une vingtaine des quelque 40 personnes qui se sont retrouvées sans toit à la suite du violent incendie de l’avenue des Merisiers sont actuellement hébergées par un hôtel de la région.

Ils ont reçu des vêtements et des repas leur sont servis. Ces services sont offerts aux sinistrées par la Croix-Rouge, et ce, de façon temporaire, le temps qu’ils trouvent un nouveau logement.

L’organisme soutient les victimes pour une durée de trois jours. Le besoin des gens est par la suite réévalué et les services se poursuivront, au besoin. «On ne laissera pas personne à la rue dimanche», illustre le chargé aux communications pour l’organisme, Carl Boisvert, en parlant de la période de prise en charge de trois jours. Par la suite, d’autres organismes de la région prendront le relais.

Les gens qui souhaitent remettre des dons monétaires peuvent le faire à la Croix-Rouge. L’argent amassé est dirigé vers un fonds général d’urgence. Celui-ci est utilisé pour des gens qui sont victimes d’un sinistre et qui doivent évacuer leur maison, peu importe où ils demeurent. «En moyenne, 1500 $ sont nécessaires pour aider une famille de quatre personnes pour trois jours», fait savoir M. Boisvert. Il ajoute qu’un fonds dédié, qui aurait servi strictement aux sinistrés de l’incendie de l’avenue des Merisiers, n’a pas été ouvert à la suite d’une évaluation de la situation et après des discussions avec la Ville de Drummondville.

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